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14-07-2014

The Development Bank of Southern Africa (“Bank”), a state owned entity, was created for accelerating sustainable socio-economic development and improve the quality of life in countries members of the Southern African Development Community i.e. Angola, Botswana, Democratic Republic of Congo, Lesotho, Madagascar, Malawi, Mauritius, Mozambique, Namibia, Seychelles, South Africa, Swaziland, Tanzania, Zambia and Zimbabwe.

The regime of the Development Bank of Southern Africa is governed by the Development Bank of Southern Africa Act, 1997.

An Amendment is currently under discussion before Parliament which will provided several changes:

• specify the regions in which the Bank may operate; 
• increase the authorised share capital of the Bank from five thousand million to twenty billion and two hundred million rand divided into two million and twenty thousand ordinary shares; 
• amend the provisions regarding the issuing of certificates for issued shares; 
• enable the Minister of Finance to increase the authorised share capital; 
• empowering the Minister to regulate the use of callable capital of the Bank to calculate the leverage ratio of the Bank; and 

• omitting the provision empowering the Minister to determine the region in which the Bank may operate.

Afrique du Sud – Réforme du Development Bank of Southern Africa Act

La Banque de Développement de l’Afrique du Sud (la « Banque ») est une entité publique, créée pour accélérer le développement socio-économique durable et améliorer la qualité de vie des pays membres de la Communauté de développement de l’Afrique Australe, à savoir l’Angola, le Botswana, la République Démocratique du Congo, le Lesotho, Madagascar, le Malawi, l’Ile Maurice, le Mozambique, la Namibie, les Seychelles, l’Afrique du Sud, le Swaziland, la Tanzanie, la Zambie et le Zimbabwe.

Le régime applicable à la Banque de Développement de l’Afrique du Sud est règlementé par le Development Bank of Southern Africa Act datant de 1997.

Un projet modificatif est en cours de discussion devant l’Assemblée qui introduirait les modifications suivantes par rapport au texte existant :

• les régions au sein desquelles la Banque peut intervenir ; 
• le capital social de la Banque passe de cinq milliards de rands à vingt milliards et deux cents millions de rands, répartis en deux millions et vingt milles actions ordinaires ; 
• les articles relatifs à la délivrance des certificats d’actions ; 
• le Ministre des Finances est autorisé à augmenter le capital social ; 
• le Ministre des Finances est autorisé à réglementer l’utilisation du capital exigible de la Banque pour calculer l’effet de levier de la Banque ; 
• les dispositions qui confèrent au Ministre des Finances le pouvoir de fixer les régions d’intervention de la Banque sont supprimées.